Pesticides et métaux lourds, si nous faisions le point ?
L’express, Vogue, France Info, Le magazine de la santé, France Soir, Sciences et avenirs, il n’y a plus une seule revue de presse qui ne fasse pas un article sur les pesticides, les métaux lourds, les perturbateurs endocriniens et les polluants environnementaux.
Comme nous avons pu l’aborder dans les différents articles du blog sur la détox, l’immunité ou encore celui concernant l’analyse des cheveux, la question de l’omniprésence des pesticides, des métaux lourds et des perturbateurs endocriniens dans notre environnement quotidien ne fait plus l’ombre d’un doute.
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Pesticides et métaux lourds, qu'en est-il vraiment ?
- EFSA (en anglais : European Food Safety Authority)
- AESA (en français : Autorité européenne de sécurité des aliments)
En France ces résidus dans les fruits, légumes, céréales, infusions, aliments pour bébé font l’objet de plans de surveillance annuels réalisés par la DGCCRF (Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes).
Des résidus de pesticides et métaux dans ...
Pour générations futures, c'est dans les fruits et légumes
Le rapport de Générations Futures définit que 41,3% des échantillons de légumes sont concernés par la présence de résidus de pesticides dont 3,4% de dépassement de LMR (Limite Maximale en Résidus).
- La cerise (pour 89% des échantillons),
- la clémentine/mandarine (88,1%),
- le raisin (87,3%),
- le pamplemousse/pomelos (86,3%),
- les nectarines/pêches (83%),
- les fraises (82,9%),
- les oranges (81,2%)
Rassurons nous, il y a aussi un bas de classement pour les fruits les moins concernés par cette présence de résidus de pesticides qui sont les prunes/mirabelles (50,8%) suivis des avocats (27,8%) et des kiwis (25,8%).
Pour Ouest France, c'est dans nos assiettes
Heureusement, Loïc Tanguy, directeur de cabinet de la DGCCRF nous précise dans une déclaration faite à l’Express en 2018 que « Le fait de dépasser les LMR n’implique pas nécessairement un danger » et de préciser que dans tous les cas de dépassement constatés des résidus de pesticides, un retrait du marché est demandé (ouf ! Il ne reste plus qu’à se demander pourquoi moins de 1% des produits consommés en France sont concernés par les contrôles) [source : Générations Futures].
Pour la presse féminine, c'est dans nos cheveux
Pour Vogue, de l’ADN au microbiote intestinal, tout peut être prélevé à domicile et envoyé au laboratoire pour analyse par des sociétés spécialistes de la santé. Ce que Vogue nomme les derniers tests DIY (Do it yourself – À faire soi-même).
Pour Marie-Claire, qui republie les propos du rapporteur spécial des Nations unies sur les produits et déchets dangereux : « nos enfants grandissent exposés à un cocktail toxique d’herbicides, d’insecticides et de fongicides. » [source : Le Monde 6 nov 2017]
Pour cash investigation, c'est dans nos urines ...
Début 2017, des personnalités écologistes françaises, dont Nicolas Hulot, José Bové et Yannick Jadot ou encore Isabelle Autissier et Delphine Batho, avaient déjà été invitées toujours par l’ONG Générations Futures à participer à une étude sur les perturbateurs endocriniens.
Pesticides et métaux lourds, si nous faisions le point ?
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